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Panach' Liberté sur Paroles

Fantaisie poétique

Spectacle conçu et interprété par Anne Cameron avec la complicité de Jean-Claude Bastos.

Représentations:     Festival International de la Jeunesse de Genève (Août 2011)

                            Théâtre de la violette ( Toulouse Octobre 2011)

Fantaisie satirique et poétique en réaction à la Crise !

Avec le personnage burlesque Panach', qui s'énerve en russe, divague en anglais,

et conteste beaucoup et surtout en français; elle concocte des Panach'ages

de textes poétiques et littéraires, y glisse à l'occasion quelques textes d'Anne Cameron... 

Que trouvera-t-elle  aujourd'hui?

Panach' s'est imposée à moi avec un aplomb singulier – une sorte d'émanation

du cinéma muet, mais qui prend la parole. Elle découvre la littérature, elle a

la boulimie de la lecture sur tous supports: cartes postales, tickets de métro,

lettres, livres, post'its...Avec jubilation, fantaisie et gravité parfois, elle se fait

passeur de textes satiriques et humoristiques, l'air de rien, sur des thèmes d'actualité. 

Anne Cameron.

Lire la critique : Le clou dans la planche

En lisant le récit des circonstances de sa conception et de sa naissance, Stéphanie découvre

qu’elle doit compter à présent avec une autre mère et qu’il lui faudra concilier deux familles, avec leurs territoires génétiques et leurs pays dans la peau.

Une écriture forte sur la maternité, avec la voix de trois femmes : la mère adoptive, la mère biologique et la fille adoptée.

Les comédiennes disent, lisent, reçoivent, chiffonnent, répètent, dans un cri ou dans un murmure.

Prune Berge travaille actuellement chez Gallimard; elle est également présidente du comité d’aide à l’écriture d’ oeuvres audiovisuelles à caractère innovant au CNC. Publié chez Actes Sud en 2001, « T’es pas ma mère » est son premier roman.

avec : Anne Cameron, Martine Costes-Souyris, Céline Nogueira/Lila Janvier

éclairages : Marion Jouhanneau

son et images : Alain Jouhanneau

mise en scène : Anne Cameron

avec le soutien de la Gare aux Artistes, Théâtre du Pont Neuf

remerciements à Michèle Gary et Jean-Claude Bastos.

« Je tenais à vous féliciter pour le spectacle que vous m’avez permis de découvrir, qui est exemplaire. La justesse du ton et des scènes de la vie quotidienne, l’internationalité de l’oeuvre ( présence de textes allemands et anglais) rendent d’une façon saisissante le vécu de la guerre… »

Véronique Harel, – Historial de la Grande Guerre.

« donner à entendre et faire comprendre des textes d’une grande diversité d’écriture était loin d’être évident. Votre talent et celui de toute votre équipe y sont parvenus de façon captivante… »

Alain Boscus, directeur du Centre National et Musée Jean Jaurès à Castres.

le pouvoir guérisseur des mots « une vision humaine sans fard. . . ./. . .Le spectacle est beau dans sa forme épurée et bien servi par de bons acteurs. »

Annie Hennequin la Dépêche du Midi.

Le Feu et les mots a été produit par le TNT, il a obtenu l’aide à la diffusion du Conseil Régional de Midi-Pyrénées, et l’aide à la création de la Ville de Toulouse et du Conseil Général de Haute Garonne.

                                                                              

Mise en scène forte pour huis clos à trois. « Humour acide, appels au secours, monologues… tout interroge le spectateur sur son regard sur les autres. Les acteurs Christian Marc, Frédéric Aubry, Christian Rizoud, campent les différences. La mise en scène d’Anne Cameron touche au but.» J.B. – M. La Dépêche, Villefranche de Rouergue.

Le Gardien a obtenu le soutien du Conseil Régional, du Conseil Général et de la Ville de Toulouse.

                                                                           

Théâtre musical. Pinter avance masqué « Pinter a occupé la scène toulousaine tout au long de la saison …/… le souffle …/… que sa compatriote donne à son écriture subtile et incisive dans « Triptyque pour comédiens, masques et violoncelle » à la Cave poésie …/… la très belle interprétation des comédiens dont la force de jeu parvient à s’exprimer pleinement dans une troisième partie bouleversante. Grâce au violoncelle d’Elise Paillard, les mots de Pinter trouvent un écho plus universel. » Jean-Luc Martinez, La Dépêche.

Triptyque a obtenu le soutien de la DRAC Midi-Pyrénées, du Conseil Général et de la Ville de Toulouse.